Source : EightDayzaWeek
Si on peut ici louer le radicalisme graphique (la ligne artistique de ce film est confondante d’audace plastique et à rebrousse-poil, comme seuls les Razmokets ou Bob l’Eponge avaient jusqu’alors tendu) vers lequel lorgne Disney3DsansPixar,si on peut saluer la mise en place de parfaits anti-héros (un trio lâche, laid, grotesque et souvent dans l’erreur) et une cinéphilie référentiellement forcenée (la SF invaders from outer space 50’s),il n’en demeure pas moins, au visionnage de cet étrange Disney d’Noël -et l’interlocation digérée -, une circonspection générale, un doute persistant sur le bien fondé de c’machin [..]