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01
2009

There Will Be Blood - Paul Thomas Anderson

24 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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There Will Be Blood,

De

Avec D. Day-Lewis, P. Dano, D. Freasier

Sortie le 27 février 2008
 
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Lors de notre rencontre avec Paul Thomas Anderson, nous avions conscience, alors même que nous n'avions pas encore vu There Will be Blood, d'être face à un authentique génie. Il y avait de quoi être impressionné et nous l'étions. Quelques heures après, à l'issue de la projection du film, nous étions encore époustouflé par la grandeur manifeste de ce chef d'oeuvre certain. Il y aura du sang. La promesse du titre n'est pas déçue mais ce n'est pas à proprement parlé l'idée du film. Paul Thomas Anderson dresse en un peu plus de deux heures le portrait d'un pétrolier pionnier.
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Partout où l'on entend du bien de There will be blood, les louanges s'accompagnent d'une évocation ébahie de l'ouverture du film, magistrale et muette pendant une bonne dizaine de minutes. Aussi brillante que soit cette introduction, elle ne vaut pas grande chose à côté de la longue scène qui clôt ces deux heures trente de pur talent. Une conclusion qui résume sans schématiser l'ensemble des enjeux évoqués par Thomas Anderson dans un film bien plus profond que son apparent classicisme ne le laisse croire.
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Orné de dithyrambes d’éminents critiques et salué par un Oscar, There Will Be Blood débarque au cinéma comme Daniel Plainview dans le pétrole. Dans une entrée fracassante. C’est un peu mais en fait énormément le problème des films de PTA, jamais dans l’économie, la modestie et la noblesse, toujours dans la dissonance, l’absolu et le tape-à-l’œil. Passé les vingt premières minutes muettes, très influencées par le cinéma allemand des années 20, on s’interroge sur le sujet en lui-même.
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Je rédige ce billet immédiatement après avoir vu There will be blood de Paul Thomas Anderson. Je suis encore sous le choc. C'est un chef-d'oeuvre à ne manquer sous aucun pretexte, adapté (d'après ce que j'ai lu) des 150 premières pages du roman Le sang de la terre d'Upton Sinclair (1927), premier volet d'une trilogie qui vient de reparaître aux Editions Gutenberg. Tout d'abord, j'évoquerai l'interprétation de Daniel Day Lewis digne d'éloges, il est à l'écran de la première à la dernière image de ce long film de 2h40 qui passe très vite et qui est très riche sur le plan visuel.
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Décrit comme un chef d'oeuvre, le nouveau film de P.T Anderson qui a des vagues allures de No Country for old man décevra ceux qui s'attendaient à voir un monument du cinéma. On pourrait pourtant s'atteler facilement à la tache de faire l'éloge de ce film étrange. Dès ses premiers instants une ambiance tendue et stressante est mise en place par le réalisateur.
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C’est du lourd, normal quand il est question de pétrole. D’or noir qui comme le jaune sert la folie des hommes. Pétrole poisseux, qui colle aux bottes et à l’écran, celui qui fait d’un petit prospecteur un homme qui s’approprie terres et réserves, hymne à la réussite, au self made man bien avant l’heure. Un homme cynique et dur comme un silex, le cœur a revêtu, comme ses mains qui ont longtemps manié pioches et explosifs, une gangue de dureté, une carapace, pire l’homme est insensible.
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Le moins qu’on puisse dire c’est que Paul Thomas Anderson est un auteur rare et éclectique : en 10 ans, de Boogie nights à There will be blood, le metteur en scène californien réalise quatre films différents dans le fond et dans la forme. Et quasiment à chaque fois Anderson créé l’événement, fournissant à ses interprètes un terrain fertile pour exprimer leur jeu d’acteur.
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Dans l'Ouest américain, dans les années 1910-1920, la ruée vers l'or a fait place à la ruée vers l'or noir. Les prospecteurs ont conservé leurs pioches et leurs pelles et ont continué de creuser cette terre sauvage pour en extraire le pétrole. Le film s'ouvre sur des scènes terribles de cette dure condition des mineurs. Dès les premières images, le ton est donné et on est scotché sur son siège et on le restera jusqu'aux dernières images, dans un autre registre, mais tout aussi fortes. La bande son, due au guitariste de RadioHead, y est aussi pour quelque chose qui souligne dramatiquement chaque scène et fait croître la tension.
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Avec Magnolia, Paul Thomas Anderson m’apparaissais comme un cinéaste aussi chiant que doué. There will be blood confirme cette impression avec la lourdeur d’un bloc d’iridium. Sans révéler une once de l’histoire, il ne se passe absolument rien dans ce film.
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Au début, ce qui choque, c'est la sécheresse. Celle des hommes, du son (pas de paroles, pas de musique pendant les dix premières minutes), de la terre et du travail. Puis vient le liquide qui se met à couler à flot et qui va transformer Daniel ou le révéler. Sans que l'on ne sache rien de lui, l'or noir va le transformer en une machine.
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Synopsis : Daniel Planview prospectait seul a la recherche de petrole, mais au fur et a mesure que sa fortune augmente il devient un etre de plus en plus ignoble pret a tout pour réussir.
Critique : Il aura fallu attendre cinq ans pour voir le réalisateur Paul Thomas Anderson revenir avec un nouveau film apres Punch Drunk Love. Le revoici donc avec There Will Be Blood film événement bardé de récompenses aux Golden Globes et aux Oscars. There Will Be Blood est l'adaptation du best seller Petrol ! de Upton Sinclair paru en 1927. Un nouveau film bien éloigné des précédents long métrages de Paul Thomas Anderson jusque la ancré dans notre époque ...

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Dernier des quatre films (après Into the wild, No country for old men et Juno) sortis en 2007 aux USA et que j'attendais impatiemment, There will be blood nous projette au début du XXème siècle, en pleine ruée vers l'or noir. Daniel Day-Lewis, impeccable de bout en bout et atout majeur du film, campe un prospecteur/exploitant de pétrole aux USA. Sa richesse, il va l'obtenir quand il trouvera un important gisement sur le terrain d'une jeune Eglise.
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Daniel Plainview, pionner besogneux et hardi, trouve du pétrole au fond d’un trou, dans lequel il cherchait de l’or. De trou en trou, au péril de sa vie, il finit par mettre sur pied un pipe-line et s’entoure d’ouvriers. Paul Sunday, venu de Californie, se fait payer une certaine somme pour l’informer de la présence d’un gisement de pétrole sur le terrain où vit sa famille, en Californie ...

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Tout débute en 1898. Daniel Plainview (Daniel Day-Lewis) s'extirpe des entrailles d'un puits où il vient de découvrir de l'argent. La caméra de Paul Thomas Anderson est patiente et observe cet homme seul et opiniâtre. En fond sonore, Jonny Greenwood – guitariste de RADIOHEAD - nous livre une partition de « classique expérimental ». Voici en quelque sorte le trio gagnant de THERE WILL BE BLOOD, dernière réalisation du prodige américain à qui l'on doit une filmographie déjà sublime ...

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Ah le cinéma américain a de nouveau du souffle ! Je parlerai prochainement de No country for old man. Pendant une vingtaine de minutes on suit Daniel Plainview creusant un puits pour ramasser quelques pépites au risque d’y laisser sa peau, puis découvrir du pétrole et ériger un derrick. On baigne dans la boue, le pétrole visqueux et noir avec la sueur et le sang, des blessures et même la mort. Peu de parole, mais une musique lancinante, stridente, violente comme les images. Un vrai régal de cinéma. Il y aura du sang dans cette chronique typiquement américaine où se conjugue le rêve américain du self made man et la folie d’un prédicateur religieux ...

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Trop pris par le travail, voilà que j’avais oublié de chroniquer le fort intéressant « There will be blood » de Paul Thomas Anderson, déjà auteur de Magnolia et du bien marrant Punch Drunk Love. Par rapport à son homonyme Wes Anderson, PT Anderson est un réalisateur qu’il est encore difficile de cerner, sa courte filmographie n’étant composé que de films aussi divers dans leur fond que dans leur forme ...

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Je ne veux pas croire que Paul Thomas Anderson soit de la même famille que Pamela Anderson, ce serait une sublime idée que d'imaginer le repas dominical dans la famille Anderson, avec Wes Anderson comme petite frère. Finalement, il suffirait de s'appeler Anderson pour faire du cinéma, ce qui serait en un sens parfaitement justifié, au regard de l'inventivité des prénoms : Paul Thomas, Wes, Pamela. Quelle magnifique famille ...

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Daniel Plainview (Daniel Day-Lewis) est un aventurier tenace et un chercheur d’or hors pair. Après avoir traqué le minérai dans des grottes, le voila parti à l’assaut de l’or noir, le pétrole. Nous sommes au début des années 1900 et le pétrole commence son inexorable succès et les hommes se démènent pour le collecter et le puiser ...

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Est-il vraiment possible d’ignorer un film qui se permet d’avoir une photographie irréprochable ( signée Robert Elswit ), des acteurs au sommet de leur talent, un scénario plein de noirceur comme même Scorcese n’en aurait point pondu ? Bien sur que non. C’est ainsi que dans les salles nous pouvons trouver, depuis deux semaines, le superbe THERE WILL BE BLOOD, un film qui suit la destinée d’un des pionniers de l’industrie pétrolière, et qui est aussi un remarquable moyen de comprendre toute la fureur et l’horreur d’un monde sans pitié, aux antipodes du Dallas clinquant et bottes en croco chèr à Bobby Ewing ...

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Sortie évènement au moins du point de vue critique, There Will Be Blood offre aussi des nouvelles de deux personnalités cinématographiques qui s’étaient quelque peu éloignées : le cinéaste Paul Thomas Anderson et l’acteur Daniel Day Lewis (désormais doublement oscarisé). There Will Be Blood a tout du « grand sujet » quelque peu grandiloquent : en se penchant sur un pionnier de l’industrie du pétrole, le cinéaste en profite pour recouper le développement du religieux de prédication typiquement américain voir d’évoquer au détour d'un dialogue les fondations d’Hollywood ...

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"Plus j'observe les hommes, moins je les aime", confesse Daniel Plainview à celui qui s'est présenté comme son frère dans un de ses rares moments d'humanité. Cet aphorisme semble correspondre à la vision de Paul Thomas Anderson dans ce Far West gagné par la fièvre de l'or noir, tant l'observation des principaux personnages de cette adaptation du roman Oil d'Upton Sinclair pourrait nous dégoûter du genre humain. Le prospecteur tout d'abord : homme de la terre, et même des entrailles de la Terre, comme le montre la longue séquence d'ouverture quasiment muette ...

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Cinéaste rare, Paul Thomas Anderson, filme avec There Will Be Blood, les prémisses de l’épopée américaine du pétrole. Une épopée d’emblée placée sous le signe de l’obsession et de la névrose. There Will Be Blood, une œuvre massive qui explore ces deux fondements du pouvoir américain que sont l’Eglise et la Bourse ...

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Daniel Day-Lewis impose une nouvelle fois sa personalité, ici sombre et brutale, dans un film qui va creuser, outre des puits de pétrole, aux racines de ce qu'est l'amérique du XX° siècle. Car There will be blood tisse la trame de l'affrontement entre les deux forces qui ont sculpté les traits du colosse américain : l'appétit du gain sans borne d'une part, et une bigoterie sans limite de l'autre. Et ces deux forces ne font donc pas que s'affronter : elles se complètent, se combinent ...

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Histoire de pétrole, donc, success story d'un homme détestable (joué par un acteur que j'aimais beaucoup à ses débuts -Ah, My beautiful Laundrette...- mais qui, là, fait tout son possible pour justifier son Oscar) dont le destin croisera plusieurs fois celui d'un jeune prédicateur illuminé (pendant tout le film, je me suis demandé où je l'avais déjà vu, sans trouver la réponse. Et le nom au générique de fin, Paul Dano, ne m'apporta aucune révélation, mais, merci allociné point freu, j'ai eu la réponse : c'était l'ado mutique de Little Miss Sunshine!), cause de plusieurs scènes (en ping-pong) que je qualifierais de pénibles ...

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Note : 2.8/5 (22 notes)


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