Source : EightDayzaWeek
Avec ses climax bloody-miteux toutes les sept minutes et ses perpétuelles bifurcations narratives (on a l’impression qu’il manque une bobine sur deux), ce Mad Max-like, au parmesan moisi comme il se doit, bouffe à tous les râteliers et fait la tranche napolitaine bien épaisse (même la roulette russe de Voyage au Bout de l’Enfer est au menu) : western post-nuke (la gueule des indiens !), raids moto-SM, milice néo-nazie, cauchemar écolo, film de bagne, film de jungle (tendance Pocahontas),… tout y passe pour peu que le fétichisme « torse en sueur et cuir à pointes » soit au rendez-vous [..]