Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Norman Bates, Chez Lo, In the mood for cinéma, Through my eyes
Président, De Lionel Delplanque, Avec A. Dupontel, J. Renier, C. Rich Sortie en salle le 20 septembre 2006 Sortie en DVD le 4 avril 2007 | |
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Cette année verra les élections présidentielles (quel scoop) et le cinéma français n’a pas manqué de nous mettre tous dans le bain (la soupe devrais-je dire) en nous élisant Dupontel président. Aux commandes de la campagne, c’est Delplanque, Lionel dont je n’ai pas vu le précédent effort, Promenons-nous dans les bois.
Dupontel rencontre Saint Guillaume ( !) (Claude Rich) dans un diner d’ambassade et devient président...
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Le Président est un homme de pouvoir et de cynisme. Autour de lui, de fidèles mercenaires, dont Saint-Guillaume, qui est à ses côtés depuis l'époque lointaine des magouilles en Afrique de l'Ouest, magouilles qui pourraient d'ailleurs les rattraper. Mais le Président porte un amour exclusif à sa fille, et les hommes qu'elle affectionne sont surveillés de très près.
Le film nous emporte dans ses tourbillons affairistes, ses dossiers classés secret-défense et ses luttes opaques ...
Lire la suite de la chronique Chez Lo.
Il y a quelques jours sortait Président de Lionel Delplanque. A quelques mois des Présidentielles, quel sujet plus opportuniste ? Et surtout quel traitement plus opportuniste ? Le cynisme est à la mode. Et chez certains partis extrémistes, il consiste à mettre tous les hommes politiques dans le même panier, à ressortir le poujadiste « tous pourris ». On accordera au film le bénéfice du doute en disant que ce n’était pas volontaire mais c’est exactement le sens dans lequel va ce film à la morale douteuse ...
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J’ai bien aimé ce film de fiction qui mélange un peu la réalité probable des coulisses du pouvoir (surtout depuis qu’elles médiatisées dans un grand nombre de films hollywoodiens à succès) et quelques légèretés scénaristiques qu’on ne rélève à peine. Du genre, la fille du président qui attend sagement son train ou son RER, j’ai du mal à y croire, de même que, père et fille assis sur un canapé à parler sentiments en tripotant la perceuse. Je sais bien que nos hommes d’Etat sont des hommes, mais tout de même, je crois que ce sont des gens condamnés à ne pas avoir de vie ...
Lire la suite de la chronique chez Through my eyes.