Source : EightDayzaWeek
Ancien « compagnon de route » de Claude Chabrol (ils mirent au point en mai 68 le « Projet 4 », une réforme complète (et apparemment viable) du cinéma français, basée sur un impôt permettant à tous les français d'aller au cinéma gratuitement ?!), cinéaste confidentiel et militant venu de l'IDHEC (ancienne FEMIS) à l'aube des années 70, Marin Karmitz, qui se décide à investir la production, la distribution et l'exploitation de ses projets par le biais de sa société MK2* (cédée dernièrement à son fils Nathanaël), re-croise la route du réalisateur une quinzaine d'années après que Polanski et Malle aient démissionné du jury de Cannes et que Carlos Saura (aidé en cela par Godard et Géraldine Chaplin) se soit accroché au rideau rouge du Palais des Festivals pour empêcher la projection, devenue indécente au vu des « événements », de son Peppermint Frappé [..]