Source : EightDayzaWeek
P { margin-bottom: 0.21cm; } Ce n'est pas seulement parce qu'il fragilise l'image du père que Poltergeist II* se rapproche finalement autant du premier opus de la franchise initiée par Spielberg et Hooper que de l'Amityville de Anson & Rosenberg.Mais bien parce que les trois films parlent avant tout, une fois débarrassés de leurs motifs et bestiaires respectifs (qui reposent tous cependant sur la mémoire et l'écho), de la crise de la famille américaine de l'après Woodstock** - il en allait déjà de même, au fond, avec L'Exorciste ou La Malédiction [..]