Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Rob Gordon, Xav-B.Log, Culturopoing, Boustoune
Monstres contre Aliens, De Rob Letterman & Conrad Vernon Animation Sortie en salle le 1 avril 2009 |
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Chez DreamWorks, on continue à penser que de l'animation en 3D remplira toujours les salles étant donné que le spectateur n'est qu'un plouc bouffeur de pop-corn. Pendant ce temps, Pixar continue à marquer des points en sortant à intervalles réguliers des films dont la qualité technique n'a d'égale que l'imagination (pour un résumé en caricatures de la différence criante entre les deux studios, c'est ici). Conçu pour être projeté en 3D, Monstres contre aliens confirme cette tendance ...
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Apres Madagascar 2, Les studios Dreamworks reviennent avec de tout nouveau personnages. Une guerre sur terre entre monstres et Aliens C'est le réalisateur de Gang De Requins, Rob Letterman, qui réalise ce nouveau film. Premier constat, Monstres Contre Aliens est bien plus beau que Gang De Requins. Le studios Dreamworks semblent avoir franchi un nouveau palier dans le film en image de synthése. Le design des personnages, les décors, les textures, tout a été préparé avec le plus grand soin pour un rendu visuel reelement impressionnant ...
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Après la parenthèse enchantée de Kung Fu Panda, on dirait que l’ordinaire est redevenu la norme chez Dreamworks Animation : un Madagascar 2 routinier et, maintenant, ce Monsters vs. Aliens pas indigne mais souffrant de quelques uns des maux traditionnels des films du studio. L’une des grandes différences avec Pixar (malgré la baisse très sensible de qualité des productions de la firme depuis sa fusion avec Disney), c’est que Dreamworks ne propose aucune vision d’auteur ...
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Monstres contre Aliens, le nouveau film d’animation des studios Dreamworks. Il s’agit d’un bel hommage aux vieux films de science-fiction des années 1950/1960, ceux qui étaient peuplés de ces « craignos monsters » chers à Jean-Pierre Putters et qui ont fait rêver (ou rire) plusieurs générations de cinéphiles. Le personnage de Susan, rebaptisé « Génormica » est bien évidemment une référence à L’attaque de la femme de 50 pieds, film-culte de Nathan Juran, daté de 1958. Les mésaventures du Docteur cafard s’inspirent directement de celles de Vincent Price dans La Mouche noire ...
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