Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Laterna Magica, Les irréductibles, Critiques clunysiennes, BMR & MAM, Dasola, Cinéfeed, Culturopoing
La Visite de la fanfare, D'Eran Kolirin Avec S. Gabai, R. Elkabetz, S. Bakri Sortie le 19 décembre 2007 |
|
Acheter La visite de la fanfare sur Amazon |
Une petite fanfare de la police égyptienne arrive en Israël pour donner un concert à l’occasion de l’inauguration d’un centre culturel arabe dans une ville dont ils ignorent tout. Malheureusement, défaut de la machine administrative ou mauvaise circulation de l’information, personne ne vient les chercher à l’aéroport et les voilà livrés à eux-mêmes, obligés de se débrouiller pour trouver le lieu du concert. Le chef d’orchestre Tewfiq décide alors qu’on ne demandera d’aide à personne et charge Haled, un subordonné, bellâtre de la troupe parlant peu l’anglais, de leur trouver un moyen de transport ...
Lire la suite de la chronique de CinemaniaC.
« Un jour, une fanfare de la police égyptienne arriva en Israël pour un concert. Peu s’en souviennent car ce n’était pas important ». C’est par ce curieux préambule que commence le film. La fanfare en question, victime d’un mauvais aiguillage, se retrouve perdue dans une petite ville isolée d’Israël. Les musiciens se lient à la patronne d’un café (Ronit Elkabetz) et a ses habitués. Avec beaucoup de sensibilité et d’humour, le cinéaste arrive à nous toucher avec ce joli petit film, léger et innocent ...
Lire la suite de la chronique de Laterna Magica.
Et dire qu'ils auraient pu ne pas s'égarer, et par la même nous priver de cette magnifique histoire. Histoire, ho il ne se passe en fait que peu de choses. Rien que de très ordinaires rencontres, des instantanés où parfois l’objectif reste ouvert, sur le mode pause, saisissant la grâce et la fragilité d’un instant. Des chemins se croisent, gêne d’un instant face à l’autre, observation, on ravale sa salive puis un éclair, une étincelle le courant passe et nous emporte nous spectateur ...
Commandée par le Colonel Toufik Zachariya, la Fanfare de Cérémonie de la Police d'Alexandrie a été invitée pour l'inauguration du "centre culturel arabe" de Petah Tikvah. Suite à une erreur de prononciation, elle débarque à Bet Hatikvah, un trou perdu dans le désert à l'autre bout d'Israel. Sanglés dans leurs rutilants uniformes bleu ciel, ils apprennent que le prochain bus ne passera que le lendemain ...
L'israëlien Eran Kolirin doit être né sous une bonne étoile car son premier vrai film, La visite de la fanfare, écume les festivals et récolte les lauriers. Très librement inspiré d'une histoire vraie, le film raconte les mésaventures d'une fanfare de la police égyptienne égarée dans un village paumé du bled israëlien ... À la suite d'une méprise, la fanfare partie pour Petah Tikvah (« La porte de l'espoir », une implantation agricole juive historique) se retrouve à Bet Hatikvah (« La maison de l'espoir », un trou perdu, genre Bagdad Café) ...
Lire la suite de la chronique de BMR & MAM.
Je dois (désormais) préciser que j'ai vu ce film en 2007. Un film israëlien de plus me direz-vous ? Et bien oui, La visite de la fanfare est un petit bijou qui vaut largement le déplacement. Une fanfare de 8 musiciens, venus d'Alexandrie en Egypte, arrive en Israël pour inaugurer un centre culturel arabe dans la ville de Petah Tiqva ...
Lire la suite de la chronique de Dasola.
Au commencement il y avait les huit musiciens de la fanfare de la police d'Alexandrie. Lumineux dans leur uniforme bleu roi chamarré. Ils débarquent à l'aéroport de Tel Aviv. Ils ont été invités à donner un concert de musique orientale lors de l'inauguration du centre culturel arabe de la ville de Petah Tikva. Sauf que personne ne les attend à leur arrivée ...
Lire la suite de la chronique de Cinéfeed.
Voilà ici un joli prototype du film dit de «bouche à oreille» : un film Israélien tout d’abord, sans aucune vedette, une histoire/intrigue qui tient sur un post-it, une atmosphère cajoleuse, un humanisme discret irrésistible et au final une œuvre à la douce poésie et à la chaleur collégiale.Un film à hauteur d'hommes donc, même si cette expression si belle et juste est souvent galvaudée par quelques esprits chagrins et taquins qui confondent "Gimmick" et "bourrique" ...
Lire la suite de la chronique de Culturopoing.