Source : EightDayzaWeek
Tenu pour la plus mollassonne des livraisons zérozéroseptesque, ce neuvième opus de la licence (le second Moorien) s’avère très vite en outre l’un des moins spectaculaires (avec son prédécesseur Vivre et Laisser Mourir qui constitue d’ailleurs une sorte de dytique ascétique) [..]