Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
In the mood for cinéma, Rob Gordon, Sur la route du cinéma, La plume et l'image, Boustoune, BMR & MAM, Antigone, Publik'art
Je l'aimais, De Zabou Breitman, Avec D. Auteuil, M-J. Croze, F. Loiret-Caille Sortie le 6 Mai 2009 |
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L’histoire pourrait tenir en une ligne : un homme qui, en voyage d’affaires à Hong Kong, tombe amoureux d’une femme qui devient sa maîtresse et, malgré tout l’amour qu’il porte à cette dernière, reste avec sa femme. Mais c’est là ce qui fait la force de cette adaptation : ni une ligne, ni plusieurs ne peuvent résumer tout ce que Zabou Breitman parvient à faire passer dans un plan ...
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Après un premier film raté et un deuxième calamiteux, Zabou Breitman ne pouvait que surprendre agréablement avec Je l'aimais, adaptation de la désormais inévitable Anna Gavalda. Beaux sentiments et style ordinaire mais attachant sont les caractéristiques de l'oeuvre de l'écrivaine, qui avant de se lancer dans le pavé (Ensemble c'est tout et La consolante) s'était fait les dents sur des histoires courtes. Bien que s'étalant sur une vingtaine d'années, Je l'aimais faisait 150 pages environ, racontant sans détour l'histoire d'amour de cet homme qui aurait pu quitter sa femme mais n'a pas pu (ou pas voulu le faire) ...
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Voilà typiquement le genre de film que j’étais décidée, préparée et convaincue d’aimer à la folie. Et puis quoi ? Et puis rien, ou pas grand-chose. Les histoires d’amour dans les chansons ou dans les films finissent mal en général, je le sais et d’ailleurs ici, pas de surprise, on sait d’entrée de jeu que Pierre et Mathilde ne vieilliront pas ensemble. Et d’ailleurs si Mathilde et Pierre se mariaient et avaient beaucoup d’enfants, y’aurait pas de film. D’accord ...
Lire la suite de la chronique chez Sur la route du cinéma.
Pourquoi ne pas le dire tout de go que ce film est un coup de coeur, parce qu'il est bien amené, pudique, délicat, charmant, sensible, qu'il fait honneur à la production française et se laisse regarder avec un vrai bonheur. Il s'ouvre sur le désespoir d'une jeune femme Chloé ( Florence Loiret-Caille ), que son mari vient de plaquer pour une autre, sans qu'elle n'ait rien vu venir, et la laisse seule avec deux enfants ...
Lire la suite de la chronique chez La plume et l'image.
En adaptant le roman d'Anna Gavalda, «Je l'aimais», Zabou Breitman s'est lancée dans une entreprise ardue. Car si Ensemble c'est tout, autre oeuvre de l'écrivain portée à l'écran, pouvait reposer sur le contraste entre ses personnages attachants et hauts en couleur, Je l'aimais n'est qu'une histoire d'amour, de passion, de frustrations et de regrets. Des sentiments pas évidents à restituer au cinéma, d'autant que la narration consiste en un récit morcelé, fait de longs flashbacks. Du coup, le résultat est assez inégal ...
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Après Ensemble c'est tout, voici un autre bouquin d'Anna Gavalda adapté au cinoche. Et c'est Zabou Breitman qui met en images : Je l'aimais. L'histoire d'un amour qui n'aura pas eu lieu. Daniel Auteuil, Pierre, accompagne sa belle-fille à la montagne : elle vient de se faire larguer par son mari (le fils de Pierre donc) et au fil des soirées passées à pleurnicher dans le chalet, Daniel Auteuil se laisse aller à la confidence. Lui aussi, il y a bien longtemps, a failli larguer son épouse ...
Lire la suite de la chronique chez BMR & MAM.
Adapté du livre homonyme d'Anna Gavalda (lu il y a bien longtemps, et dont il ne me restait pas grand souvenir, ce qui est étrange !), ce film raconte la nuit que vont passer Chloé, effondrée après la rupture avec son mari, et son beau-père dans un chalet de montagne, une nuit à discuter. Pierre va raconter à sa belle-fille son secret, cet amour qu'il a caché à tous ... ses manquements, ses renoncements ...
Lire la suite de la chronique chez Antigone.
’avais beaucoup aimé le livre, comme vous avez pu le constater dans mon précédent billet. J’ai essayé d’oublier l’histoire en regardant le film. En général, je n’aime pas aller voir un film en en connaissant toute l’histoire, ou presque … Ce soir, ce fut différent. J’ai vu le film totalement. En me laissant gagner par les émotions ...
Lire la suite de la chronique chez Publik'art.