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04
2008

J'ai toujours rêvé d'être un gangster - Samuel Benchetrit

7 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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J'ai toujours rêvé d'être un gangster,

De

Avec A. Mouglalis, E. Baer, J. Rochefort
Sortie le 26 Mars 2008
J'ai toujours rêvé d'être un gangster - Samuel Benchetrit
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Voila un long métrage atypique, certainement l'un des ovnis du moment. Composé de quatre parties appelées épisodes qui ont en commun une cafétéria paumée au milieu de nulle part, entièrement tournée en noir et blanc avec même quelques passages en muet, J'ai toujours rêvé d'être un gangster brosse le portrait de truands ...
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On manque en France autant de bons raconteurs d'histoires que de (re)créateurs d'univers. Le Samuel Benchetrit de J'ai toujours rêvé d'être un gangster est sans doute le remède à ces deux maux. Son cinéma sent à la fois l'urgence et l'application, la nostalgie et l'envie d'aller de l'avant, le classicisme et la fantaisie. On pourrait citer Jarmusch, Tarantino, Tati ou Chaplin, mais ce serait vain tant ces références sont parfaitement intégrées dans le style très personnel de l'artiste ...
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Contrairement à ce que peut laisser penser son affiche provocante, « j’ai toujours rêvé d’être un gangster » est un film gentil et plutôt sage. Au sein de 4 saynètes consécutives comme autant de petits courts métrages, le deuxième film de Samuel Benchetrit multiplie les stylisations autour du thème des gangsters plus ou moins amateur ...
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Le dernier Benchetrit : on aime ou on déteste. Pour deux raisons : la première, comme pour tout autre film, correspond à une question de perception, de vision de l’œuvre, entre critères esthétiques et expérience personnelle ; la seconde raison, dans l’air du temps, renvoie au caractère inspiré ...
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Quatre séquences articulées autour de cette cafétéria fleurant le formica triste, le café bon marché, la bière fade et les odeurs de graisse émanant des cuisines mêlées à celles des détergents. Bref un endroit pas folichon, paumé au sein d'une cité, au carrefour de nulle part ... Quatre courts, du braqueur incapable aux kidnappeurs attachants, du "vol entre amis" à la tentative de meurtre sur ami", tous s'articulent autour de ce minable "troquet" ...

 

« J’ai toujours rêvé d’être un gangster », dit Ray Liotta au début Les Affranchis. Apparemment, Samuel Benchetrit, lui, a toujours rêvé d’un cinéaste. Il n’a pas ni les moyens ni les idées de mise en scène mais bel et bien des inspirations et un concept. Et bien qu’un peu limité, cela devient suffisant voire même impeccable. Indéniablement, Benchetrit a des faiblesses, qui confinent parfois à l’aboulie, mais il s’en joue et s’en fout royalement. Sa caméra se répète, ses plans tournent en rond et pourtant la modicité de son style se révèle un atout majeur ...

 

Des gangters seuls. Des chanteurs seuls. Ils ne sont pas pas totalement seuls, ils se retrouvent entre gangsters ou entre chanteurs ou ils font copain-copain avec leur otage mais tout de même, ils sont seuls, ils s'emmerdent, disons-le franchement, ils s'emmerdent!!! Chapitre 1, un gangster sans flingue voudrait bien faire main basse sur la caisse de ce restau-route mitieux. Seulement voilà, le moment propice ne se présente pas, personne ne fait attention à lui ...

Note : 3.3/5 (9 notes)


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