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21
05
2008

Innocents, the dreamers - Bernardo Bertolucci

5 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Innocents, the dreamers

Bernardo Bertolucci ,
avec M. Pitt, E. Green, L. Garrel,


Disponible en DVD en import

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Entrons directement dans le vif du sujet, le cinéma de Bertolucci et ce qu’il est devenu depuis ses grands films des années 60-70 m’indiffère complètement. Pourtant, je dois avouer que ce dernier opus en date me tentait plutôt et avait réussi à éveiller en moi une certaine curiosité (because Mai 68 et la cinéphilie). Le résultat ne m’a pas réellement convaincu mais avouons qu’après deux aussi effroyables navets que Beauté volée et Little Buddha (un des pires films que j’aie vu de toute ma vie), Innocents s’avère plutôt regardable et se suit sans ennui (quoique sans passion !) (...)

 

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Bertolucci a donné la clé de son projet en disant qu’il voulait faire un film d’aujourd’hui en rêvant des sixties, mélanger présent et passé. Hormis les trois jeunes acteurs d’aujourd’hui, Jean-Pierre Léaud et Jean-Pierre Kalfon relisant le manifeste de Godard devant la cinémathèque comme Léaud l’avait fait en 68, tout le film est très nettement la tête dans le sable du passé («sous les pavés, la plage»…). Non seulement, la reconstitution des décors et les costumes des années 60 sont particulièrement soignés, avec cette esthétique colorée orange et vert qui préfigure les seventies, intégrée dans des sixties finissantes encore sages, mais de très nombreux documents d’archives de mai 68 sont insérés dans le film. Sans parler des extraits de films et des musiques d’époque : Françoise Hardy, Jimmy Hendrix, Eric Clapton, Janis Joplin, etc (...)

 

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En peignant son récit avec pour fond l’agitation de mai 1968, Bertolucci place son récit dans un contexte singulier, rare, inédit, ponctuel, révolutionnaire. Son histoire prend de fait une toute autre ampleur ; la découverte de ces trois jeunes gens, sur le plan de la vie, reflète l’explosion sensationnelle de cette année charnière de l’Histoire de France (...)

 

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Matthew, qui fut un jeune américain venu faire ses études à Paris, se souvient de la façon dont il a vécu « mai 68 ». Il occupe une belle chambre dans un hôtel cossu, belle mais dépourvue de toilette, raison pour laquelle il pisse fréquemment dans la cuvette du lavabo. Mince, il asperge sa brosse à dent, dites donc ! Tant pis, il ne s'en sert pas, il se le fait au doigt (...)

 

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Dans ce film étrange du sulfureux Bernardo Bertolucci (Le dernier tango à Paris), mai 68 n’est à première vue qu’une toile de fond, période de libération à l’atmosphère particulière (les AG étudiantes, les cinéma de minuit, la musique rock) qui justifie la liberté absolue de personnages s’abandonnant à leur désir. Bien sûr, il faut aimer se balader toute la journée nu comme un vers en buvant du vin et en parlant cinéma et politique. Cela reste une image un peu clichée du libertinage à la française (...)

 

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Note : 2.8/5 (9 notes)


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