Source : EightDayzaWeek
Les palmarès cannois sont souvent (toujours ?) insaisissables. Comme si chaque président de jury (Visconti l'année qui nous occupe) voulait faire le malin et, en tous les cas, davantage que son prédécesseur (en même temps, et pour cause, en 68, y'avait pas eu d'Grand Prix ni de petits !) [..]