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CinemaniaC, Psykokwak, Chez Lo
Goodbye Bafana, De Bille August Avec J. Fiennes, D. Haysbert, D. Kruger Sortie le 11 avril 2007 Sortie le 11 octobre 2007 |
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Etonnant, cet accueil maussade et condescendant de la presse vis à vis du film «Good bye Bafana» dont certains disent que c’est un film plat et d’autres carrément un ratage. Possible que le fantôme des deux palmes d’or du réalisateur Bille August ait plané sur les mémoires des blasés qui auraient préféré un film d’auteur auteuriste quand il s’agit d’un film grand public… Mais quelles images limpides et quelle lumière parfaite, quelle simplicité de filmer des grands…. Par ailleurs, il faudrait être une pierre pour s’en vouloir de verser une larme quand Nelson Mandela sort enfin de prison après 27 années d’enfermement mais pas seulement car le film est pavé de moments d’émotion sans compter qu’il n’est peut-être pas mauvais de se souvenir, à dix jours des élections présidentielles et des déclarations xénophobes de certains candidats à l’Elysée, de la folie raciste que fut le régime de l’Arpatheid ...
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A priori ce film avait de bons atouts : un excellent réalisateur (Bille August), de bons et beaux acteurs et un sujet peu banal, c’est le récit, des dernières années de prison de Nelson Mandela, vu sous l’angle du geôlier . Las ! Hormis un Dennis Haysbert magistral, véritablement porté par ce personnage hors du commun, Joseph Fiennes et Diane Kruger sont immensément lisses. Seule une cicatrice sur la lèvre supérieure du sergent Gregory (Joseph Fiennes) vient lui donner un peu de relief et nous suggérer qu’il a souffert pour ses idées. Et je crois que tout le film se résume dans cette cicatrice. Pour avoir accepté de faire passer à Winnie Mandela, à l’occasion de Noël, un symbolique et unique chocolat, le sergent Gregory est rejeté par ses collègues ...
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"Goodbye Bafana". Le film se termine comme ça. Un au revoir un brin nostalgique, alors qu'il marque la libération de Mandela, ses premiers pas d'homme libre après 27 années d'incarcération, et que le geôlier, lui, continuera d'arpenter la résidence surveillée. Bille August signe là un film lisse, conformiste, qui retrace pas moins l'itinéraire d'un Gregory dont heureusement la mentalité a évolué pus rapidement ...