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15
03
2009

Boy A - John Crowley

9 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Boy A,

De

Avec A. Garfield, P. Mullan, K. Lyons
Sortie le 25 février 2009
Boy A - John Crowley
.
 

Dés les premières minutes, Boy A délivre les premières notes d’une mélodie qu’on envisageait déjà comme subtile et savoureuse. Dans une pièce à l’austérité glaciale, Terry (Peter Mullan) et Eric (Andrew Garfield) se font face. Du premier se dégage cette posture paternelle rassurante, tandis que le second arbore un sourire béat et innocent d’enfant émerveillé. Face à sa libération toute proche, Eric doit se trouver un nouveau nom, afin de débuter sa nouvelle vie. Ce sera Jack ...  

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En 1993, deux gamins de Liverpool kidnappaient et tuaient un garçon de 2 ans. Placés en prison et libérés en 2001, ils purent changer d'identité et de domicile afin de pouvoir vivre tranquilles. C'était sans compter sans une Angleterre vengeresse, bien décidée à traquer ces assassins sans relâche pour les massacrer comme elle l'entend. Pourchassés en permanence, les deux jeunes hommes ont fini par demander à retourner en prison pour y finir leur jour. Une requête rejetée par les autorités anglaises, mais qui aide à imaginer l'enfer quotidien que constitue leur tentative de réinsertion ...  

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Boy A s’ouvre sur une intense lumière blanche, symbole de la pureté – du moins de la pureté retrouvée – de son personnage principal, Jack Burridge. Mais très vite, les plans se teintent de tonalités grisâtres et de zones d’ombre. Pas évident de reconstruire sa vie, de se reconstruire soi-même quand on a passé plus de dix ans en prison, après une condamnation pour meurtre. Et plus encore si les événements tragiques ont eu lieu pendant la pré-adolescence du criminel, à un âge où l’on se cherche encore, où l’on n’a pas terminé son apprentissage ... Le film de John Crowley joue sur ce combat entre l’ombre et la lumière, sur l’opposition entre la paix retrouvée de Jack Burridge et les vieux démons d’Eric Wilson ...  

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S’oublier. S’abandonner à soi-même et aux autres, à la vie. Sur le son d’une popsong de boîte de nuit, les veines irriguées d’alcool, le crâne tambouriné par les effets d’une pilule magique. Gesticuler, danser jusqu’à ne plus tenir debout, se prendre la tête, rester éveillé. Car au fond de soi-même demeure la conscience. La conscience de ne pas être, de jouer le rôle d’un autre, d’œuvrer malgré soi dans le mensonge, de s’efforcer de vivre une existence que l’on ne mérite pas, factice et impalpable, fragile et faussement agréable. Cette scène, belle et charnelle, qui décoince enfin Jack, qui lui offre un plaisir contemporain nouveau alors que lui, prend le sien dans le quotidien le plus banal (son boulot), trouve sa résonance dans ce qu’elle précède : l’after durant lequel Jack vient au secours de son pote malmené ...  

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Je vous conseille d'aller voir Boy A de John Crowley pour l'histoire et pour l'interprétation toute en nuances des acteurs principaux. Boy A est un film anglais qui raconte que votre passé vous rattrape surtout quand on veut le fuir. Jack Burridge a une vingtaine d'années. Il tente de se réinsérer avec l'aide d'un éducateur, Terry (Peter Mullan), qui lui a trouvé une nouvelle identité et un travail. Il vient de sortir de prison pour des vols de voitures (c'est ce qu'il doit dire). Mais avec des flash-back, tout le long du film, on apprend que c'est pour un délit plus grave ...  

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Peut-on adulte échapper à son passé. Ce dernier si lourd, qu’il a fait d’un enfant un criminel. Acte odieux certes mais dans quelle mesure le presque encore enfant influençable en avait-il conscience ? Mais ce n’est pas cette question qui aujourd’hui nous est posée. Si nous revivons par de fréquents flash-back, presque trop net, les faits, l’engrenage ayant conduit à la tragédie ...  

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Jack/Eric, 24 ans, reçoit des mains de Terry, son éducateur de réinsertion, une paire de basket neuve estampillée escape. Cette paire de chaussure doit lui permettre de repartir d’un bon pied après une dizaine d’années d’incarcération pour sa participation à un assassinat commis durant son adolescence. L’action se déroule en Angleterre et on pense à l’affaire Bulger où deux garçons de 10 ans avaient assassiné un enfant de 2 ans. Leur libération à leur majorité avait déclenché la fureur des médias et avait contraint les deux jeunes majeurs à changer d’identité et vivre cachés. Ici semblable scénario, Eric devient Jack (Andrew Garfield). Terry (Peter Mullan) lui dégotte une chambre et un emploi ...  

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"Boy A", c'est ainsi que la presse avait surnommé Jack lors de son procès, pour le distinguer de son complice Philipp, pendu depuis par ses codétenus. Pourchassé par les tabloïds qui savent qu'il a été libéré, traqué par des milices de justiciers qui offrent une prime de 20 000 £, Jack doit aussi faire face à sa culpabilité, celle d'avoir assassiné à 12 ans, et celle d'avoir survécu à son comparse. Quand Terry le rencontre une dernière fois au parloir pour préparer sa libération, celui qui s'est attaché à lui plus qu'à son propre fils lui offre une paire de Nike, symbole de la liberté de marcher dehors ...  

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Boy A n’est, certes, pas un très grand film, c’est un film qui a des défauts agaçants parfois, mais qui, dans l’ensemble, vaut la peine d’être vu. Ce film réalisé par John Crowley narre l’histoire d’un garçon emprisonné pour un crime odieux et qui sort de prison à 24 ans, après avoir passé toute son adolescence derrière les barreaux. Protégé par un tuteur, on lui offre une seconde chance : un nouveau nom et une nouvelle histoire pour que Eric, meurtrier haï par l’Angleterre entière puisse devenir Jack Burridge, jeune homme tout à fait normal ...  
 

Note : 3.4/5 (12 notes)


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