Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Les Irréductibles, Chez Lo, Critiques Clunysiennes, Blog Culturel, Acide Critique, Through my eyes, In the mood for cinéma, Peyomedia, Sirensorrento, Antigone, Majanissa
Comme elle rentre de vacances, Lili ( Mélanie Laurent ), 19 ans, apprend par ses parents que Loïc, son frère jumeau, suite à une violente dispute avec son père, a quitté la maison. Loïc ne lui donnant pas de nouvelle, Lili finit par se persuader qu'il lui est arrivé quelque chose et part à sa recherche. Ce qu'elle va découvrir dépasse l'entendement. Oui! Mais le sourire rayonnant du début, le retour de vacances (à noter l'interrogatoire du père (Kad) qui d'entrée pose son personnnnage de grincheux..), le sourire puis sur le visage de Lili les sentiments vont se succéder ...
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Adapté d'un roman d'Olivier Adam, ce film ne pouvait que faire la part belle aux douleurs, aux manques et aux profonds drames familiaux. Car Lili va sombrer, de crises de larmes en crise d'anorexie, sa souffrance s'estompera dès la première lettre qu'elle recevra de son frère, à laquelle elle se racrochera comme à un espoir de le revoir, de pouvoir le retrouver... Sa quête la mènera en province, ses doutes, ses certitudes et ce qu'elle y découvrira lui ouvriront les yeux sur l'impensable ...
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Dans la zone résidentielle de Vigneux au pied des tours HLM, le pavillon familial, c'est le Truman Show, observe Lili. D'ailleurs, au début, on a l'impression de voir une tragédienne se débattre dans un univers de sitcom, tant nous sommes dans le stéréotype ; à commencer par le personnage du père, joué par Kad Mérad (le Kad de Kad et Olivier) en plein coming out dramatique, victime du syndrome Tchao Pantin. Et puis très vite, cette impression s'estompe ...
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Voilà un film juste et touchant tout simplement. Après l'équipier, voilà Philippe Lioret de retour avec pour thème la disparition, momentannée, puis longue d'un être cher, sans qu'aucune raison ne puisse être donnée, Lili (alias Mélanie Laurent et son ton très juste, sa perdition dans les nuages) revenant de Barcelone apprend qu'après une dispute avec son père, son frère, son jumeau est parti et elle se laisse dépérir sans nouvelles de lui depuis des mois. Une carte postale envoyée de Reims lui redonne espoir ...
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"Je vais bien, ne t'en fais pas" est encore un de ces films qui prend une drôle de signification aussitôt que l'on y a versé une fiole de cet acide critique qu'ici on élabore. Voilà en effet en surface une intrigue qui est assez émouvante, celle d'une disparition brutale et ses conséquences sur un petit microcosme familial. Parmi ces répercussions, la rencontre d'une famille ordinaire avec la brutalité de certains traitements 'psychiatriques' à destination des anorexiques ...
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J’étais en merveilleuse compagnie pour le visionnage de ce film dont la bande-annonce me laissait d’avance imaginer qu’il allait être chargé en émotions. Pour ceux qui, comme moi, ne lisent jamais les critiques des autres en entier, je vous le dis dés le début, j’ai adoré. Ce film est très fort sur deux points, voire trois. D’une part, il décrit de manière merveilleuse les relations entre un père et un fils, relations qu’on imagine et qu’on vit par l’absence du frère pendant le film, et qui m’ont rappellé toute la dureté des relations que je pouvais avoir avec mon père. Cette ambivalence de haine teintée d’amour jamais exprimés ...
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Evanescents. Incandescents. Deux catégories de films. Je vais bien, ne t’en fais pas fait partie de la seconde catégorie. De ceux qui vous laissent un souvenir brûlant, que le générique de fin ne parvient pas à effacer de votre mémoire et contre le souvenir duquel le temps qui passe ne peut rien. Au contraire. Il en sublime et renforce le souvenir. Un peu comme Lili avec le souvenir de son frère. Mais revenons au début ...
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Rentrant de vacances, Lili, 19 ans, apprend par ses parents que Loïc, son frêre jumeau, a quitté la maison familiale suite à une violente dispute avec son père. Comme Loïc ne lui donne aucune nouvelles, elle commence à paniquer et décide de tout faire pour le retrouver... Je m'arrête toutefois là dans le synopsis car en dire plus déflorerait beaucoup trop l'oeuvre. Alors que dire de ce Je vais bien, ne t'en fais pas sorti il ya maintenant un mois en salles ? Trois points permettent selon moi de situer le niveau de l'ensemble ...
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J’ai beaucoup entendu parler de ce film, en bien par des amis qui ne tarissaient pas d’éloges. Je suis un peu plus sceptique qu’eux concernant le film, plutôt bon, mais pas de quoi fouetter un chat quand même. C’est bien joué incontestablement, Mélanie Laurent mérite son césar du meilleur espoir féminin, elle est touchante dans le rôle de cette sœur meurtrie par la disparition inexpliquée de son frère. Et plus plutôt jolie aussi, ça a sûrement aidé le jury dans sa décision. Le quotidien décrit est celui d’une famille moyenne ...
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Après avoir lu le roman éponyme d'Olivier Adam, qui m'a laissé finalement plus de traces que je ne l'imaginais, il me tardait de pouvoir voir le film. Voilà qui est fait, depuis hier au soir ! Le parti pris chronologique de Philippe Lioret m'a un peu surprise au départ car le film démarre sur la disparition de Loïc, et non deux ans plus tard, comme dans le livre. Et puis, Lili n'a plus qu'un seul amoureux transi ...
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Je continue dans mes envies d'images et films avec "Je vais bien, ne t'en fais pas". Lili rentre de vacances à Barcelone. A la gare routière l'ambiance est morose, son frère Loic est parti suite à une violente dispute avec son père. Sans nouvelle de son jumeau, Lili est persuadée qu'il est arrivé quelque chose voir qu'il est mort. Elle tombe dans l'anorexie, sera hospitalisée jusqu'au jour où elle reçoit une carte de son frère. Il erre de ville en ville mais qu'elle ne s'en fasse pas, il va bien et va mieux sans ce con de père sur son dos ...
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Commentaires
Sans doute le plus beau film sorti en 2006 ...
Un fort beau film (sans doute le meilleur film 2006) avec Je vais bien, ne t'en fais pas porté par la jolie et intense Mélanie Laurent.
Mais sortez vos mouchoirs, car l'histoire est bien belle mais bien triste aussi à l'image de la chanson Lilli (U-turn) de Aaron dont on vous propose un bel extrait ici .
Autour de l'incommunicabilité entre les générations et de l'amour non dit, Philippe Lioret (Mademoiselle, L'équipier) nous livre un film désespéré avec une fin habile qui en surprendra plus d'un ...
BMR & MAM - 22.03.07 à 17:09 - # -
J'ai bien aimé même si j'ai trouvé un peu lent au début. Mélanie Laurent est excellente !
anjelica - 09.04.07 à 06:34 - # -
Métro - boulot - dodo
Dans son interview avec la journaliste Nina Scheu paru dans le "Tages-Anzeiger" Zurichois d'aujourd-hui, Philippe Lioret dit qu'il se "sent plus jeune que ces pères de famille qui - avec encéphalogramme plat, débobine leur vie petit-bourgeoise entre travail, famille et boulot." ("Ich muss zugeben, dass ich mich oft jünger fühle als diese Familienväter, die mit flachem Enzephalogramm ihr kleinbürgerliches Leben zwischen Arbeit, Familie und Arbeit abspulen.")
Est-ce que ce n'est pas un peu cynique compte tenu de beaucoup des "gens normaux", non-privilégié, sont forcés de mener une vie pareille? Ceci me semble même d'être une menace pour la société.
Ses essais si démunis d'aider Lili que le spectateur réalise seulement à la fin du film montrent que son père n'est pas indifférente, ce qui laisse un espoir.
(Excusez mes fautes, mais je suis germanophone, intéressé à la culture francophone.)
BH - 30.04.07 à 08:21 - # -