Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinémaniaC, Critiques clunysiennes, Blog Culturel, Peyomedia, Dr Orlof, Through my eyes, Les Irréductibles, Chez Lo, Devotionall, Cinéfilms, Culturopoing
C’est fou le nombre de film qui font référence au cinéma de Truffaut et d’Eustache, ce ne sont plus des références, ce sont des scènes entières recopiées et greffées dans un film. Ainsi, depuis quelques temps, on ressasse la scène où Claude Jade et JP Léaud lisent couchés dans « Domicile conjugal ». Ici, on suit la filiation de Truffaut à Eustache, d’Antoine Doinel à Alexandre de «La Maman et la putain», le film commence avec une scène à trois dans un lit trop étroit d’une chambre modeste, plus loin, on cite explicitement « Mes Petites amoureuses » de Jean Eustache. Tout de suite, un pesant aparté du narrateur face caméra, Jonathan (Louis Garrel) va nous raconter l’histoire de son frère Paul (Romain Duris) ou comment par amour, on peut en arriver à se jeter d’un pont ...
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Première scène, un plan séquence sur Louis Garrel qui se lève du lit où dorment son frère et une femme, traverse l'appartement en désordre, enlève la cigarette de la bouche de son père endormi, va sur le balcon et se retourne vers la caméra pour s'adresser au spectateur, puisque je ne suis pas le héros, je serai donc le narrateur. Nous voilà d'emblée dans la distanciation chère à Godard, avec le personnage qui prend à partie le spectateur et qui le rend complice du fait que tout cela n'est que du cinéma ...
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La fraicheur revenu au cinéma, nonchalance et vie tout simplement avec ce très beau Dans Paris de Christophe Honoré. On retrouve avec grand grand plaisir Romain Duris qui s'interroge sur sa vie sur son amour, sur sa condition à lui. La question est posée au début du film en terme d'Introduction finale, est-ce qu'il est possible, vraiment, qu'une histoire d'amour nous fasse sauter d'un pont ? par Amour, la réponse, assurément est oui, du tragique peut ressortir autre chose, un moment passe et la vie reprend ses droits, plus fort est le goût de vie. Guy Marchand, en père de Romain Duris (Paul, le grand frère) et de Louis Garrel (Jonathan, le petit frère...) est épatant tout simplement, dans un rôle où il se fond à merveille ...
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Paris en plein hiver, une chambre dans un appartement cosy, trois personnes y dorment, l'un d'eux se réveille doucement et nous emmène sur le balcon. Nous tournant le dos, nous observons avec lui le tout Paris qui s'éveille dans un décor froid et grisâtre... Il se retourne, un regard, deux regards et annonce aux spectateurs qu'en tant que narrateur de l'histoire qui va suivre, il se donne le droit de faire une introduction qu'il souhaite "ni pédante, ni verbeuse". De cette histoire, il indique habilement ne pas en être le héros principal ...
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A table, le petit Christophe n’a pas dit un mot depuis le début du repas et se ronge les ongles en silence. Il est inquiet depuis qu’il a remis sa copie et n’arrive pas à éloigner de son esprit l’idée d’une mauvaise note. Ses parents le rassurent : « Voyons Christophe, tu as bien révisé. Il n’y a pas de raison pour que ton professeur ne soit pas content de toi ». S’il y a une chose en effet qu’on ne peut lui reprocher, c’est de n’avoir pas révisé ! Depuis des semaines, Christophe bachote. Tout ! Il connaissait tout sur la Nouvelle-Vague ! Truffaut, Godard, Demy n’avaient plus aucun secret pour lui ...
Lire la suite de la chronique chez le Dr Orlof.
Mais qu’est-ce que c’est que ce film. Putain, pourquoi j’ai choisi ce film, j’aurais du prendre la salle 1 et voir l’Homme de sa vie. On est combien ? Une vingtaine ? Bon, le mec derrière il s’emmerde aussi, ça va, je suis pas seul. Je me souviens même pas ce qu’ils disaient dans Studio à propos de ce film. Je suis sur qu’ils ont du adorer, c’est bien le genre des gens du cinéma ça, je suis même sûr que Niklas a adoré. Tiens, j’irais voir ça ce soir en leur tapant ma critique ...
Lire la suite de la chronique chez Through my eyes.
Mélancolie agréable. Christophe Honoré et ses acteurs ont réalisé là une ambiance singulière et attachante, familière et poétique. De très belles scènes que je garderai en mémoire, beaucoup de naturel, d'humanité et le sourire esquissé par un Romain Duris grâce à son frère. Sans connaître vraiment La Nouvelle Vague à la quelle on compare souvent ce film, j'ai noté cette narration particulière, avec Jonathan, qui n'est pas le personnage principal ...
Lire la suite de la chronique Chez Lo.
Plus précisément Paul ( Romain Duris ) est littéralement sonne après une rupture qu'il a lui-même provoqué. De retour au foyer familial, là vive son père ( Guy Marchand ..impayable avec son "Bouillon de poule ) et le frère cadet Jonathan. Jonathan ( Louis Garrel ) jeune papillon qui butine de fleur en fleur, redouble d'activité comme s'il accomplissait un rite pour sortir son frangin de l'état dépressif dans lequel il s'enfonce. mais est-il lui même aussi insouciant qu'il le laisse paraitre? Ces multiples conquêtes ne cache-elle pas aussi une faille? ce sera à nous de juger ...
Lire la suite de la chronique chez Les irréductibles.
Le buzz a porté ce film sur le devant de la scène, en 2006. DANS PARIS a été décrit comme un de ces films subtils et indispensables, qui savent bien des années après sa mort officielle, renouveller les codes de la nouvelle vague française et offrir au public une oeuvre attanchante et sincère. Avec de telles prémices, il est normal que je me sois enfin décidé à regarder cette oeuvre de Christophe Honoré, pour vérifier en personne toutle bien qu'il en avait été écrit ...
Lire la suite de la chronique chez Devotionall.
Incroyable. Je suis énormement surpris par ce film. J'y suis allé sans savoir de quoi ça parlait, presque par hasard et j'ai été bouleversé parce que j'ai vu. Je ne m'attendais absolument pas à ça. L'émotion est puissante dans ce film où l'on est constamment mal à l'aise avec la tristesse du personnage de Romain Duris sans parvenir à la comprendre. C'est là tout l'intérêt du film ...
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Intéressant de revoir le troisième film de Christophe Honoré à la lumière du suivant, Les Chansons d'amour. Ou même de le voir tout court après celui-ci, ce qui est mon cas ! Le thème de Dans Paris est vraiment la rupture. A trois niveaux. D'abord la rupture, assez chaotique, de la relation entre Romain Duris et Joana Preiss qui provoque le film lui-même et en tout cas le retour du premier au sein du cocon familial (le terme "cocon" n'a probablement jamais été aussi approprié, sous ses aspects aussi bien positifs que négatifs) ...
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