Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Matière focale, Xav-B.log, Culturopoing
Fragile, De Jaume Balaguero, Avec C. Flockhart, Y. Murphy, E. Anaya Sortie en 2005, disponible en DVD en juin 2006 |
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Chers Focaliens, On n'a jamais consacré d'article à ce très beau film de Jaume Balaguero, DARKNESS, mais nous l'avons évoqué sur ce site à plusieurs reprises. Et il y a de quoi. Il faut bien le dire, depuis deux ou trois ans, les distributeurs rechignent moins à sortir du film fantastique, et je dirais même plus, à distribuer des films fantastiques de série B, mouvement initié alors que plusieurs pays, dont la France, cherchent leurs marques dans le domaine. Si dans notre pays les essais sont quasiment tous infructueux (...)
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Synopsis : Embauchée comme infirmière de nuit dans un hopital sur le point d'être fermé, Amy se lie d'amitié avec Maggie, une jeune patiente considérée comme étrange. La petite fille lui révelera être en contact avec Charlotte, la fille mécanique qui vit dans le second étage desaffecté de l'hopital.
Critique : Allez savoir pourquoi, le film le plus primé au dernier festival fantastique de Gerardmer n'a pas eu le droit à une sortie en salle et se voit immédiatement exploité en DVD. Pourtant le troisième long métrage du réalisateur Jaume Balaguero aurait mérité plus que certains films sorti cette année au cinéma d'être présenté dans les conditions les plus idéales. Sans être absolument vraiment original le scénario de Fragile, imaginé par son réalisateur, réserve son lot de surprises. Il est extremment bien construit dans sa narration (...)
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Les films fantastiques ont la capacité, car ils oscillent entre imaginaire et réalité, de convoquer des émotions, un point de vue, une vision du monde. Ceci commence à être plus ou moins acquis, en même temps que le concept de réalité (dans son opposition à l'imaginaire) se révèle peu à peu être caduque en ce qu'il se prétend lieu de la vérité. Le Fantastique se propose avant tout d'être un révélateur, qui, débridé de la gangue de la réalité, fait émerger la dynamique dans laquelle sont enserrés les hommes. Point de "raison" alors de diviser, sur ce principe imaginaire/réalité, le paysage cinématographique en "films de genre" et le reste (...)
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