Source : Lieux communs
(un genre de réponse à Hervé...)
"Je n’ai rien à raconter Je vis un éternel été Ni gris, ni bleu, ni mérité Qui dure depuis tant d’années (...) Je n’ai rien à raconter non plus Aux autorités, je n’en peux plus Je suis un cheval fatigué Qu’on mène à la salle des pas perdus Je n’ai rien à raconter, tant pis A l’humanité, j’ai rien compris Je suis un animal fatigué Qui traîne la patte, laissez passer [..]