Source : Playlist Society
Que l’on penche pour la Suède de Strindberg et Bergman ou pour celle d’Edberg et Roxette, ou encore pour les deux – pourquoi choisir –, se pencher sur le cas de Peter Von Poehl est toujours intéressant, car il est à la croisée de ces routes. On sent d’emblée chez lui, dès les premières notes de ce quatrième album, tout à la fois l’érudition, le lyrisme et la joie d’une décontraction revendiquée, d’un hédonisme de l’évidence [..]