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04
2008

No Country for Old Men - Joel Coen & Ethan Coen

26 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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No Country for Old Men,

De &

Avec T-L Jones, J. Bardem, J. Brolin

Sortie le 28 Janvier 2008
 
No Country for Old Men - Joel Coen & Ethan Coen
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Moi qui aime tout ce que font les frères Coen (et j'ai vu tous leurs films sauf O'Brother), j'ai été ravie de voir leur dernière oeuvre avant tout le monde chez nous. C'est grisant. Le film vient de sortir aux Etats-Unis où il marche très bien grâce à des critiques élogieuses. Il a été élu parmi les meilleurs films de cette année. Je ne dévoilerai pas toute l'histoire. Un chasseur, au milieu du désert texan, découvre des cadavres à côté de camionnettes. Ils semblent s'être entre-tués au cours d'une fusillade ...
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A la mythique frontère du Mexique et du Texas, Llewelyn Moss, vétéran texan du Viet-Nam trouve sur les lieux d’un trafic de drogue transformé en véritable carnage une valise contenant deux millions de dollars en billets. Désireux d’améliorer ses conditions de vie, souciaux du bien-être de sa femme, mais pas fou pour autant, il embarque l’argent chez lui. Se met alors en place la traque de Llewelyn ...
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Il est rare de déconseiller une oeuvre d'art en invoquant sa trop grande qualité. Pourtant, par pitié, ne lisez pas l'avant-dernier roman en date écrit par Cormac McCarthy, intitulé en français Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme (gasp). Ou en tout cas, pas avant d'avoir vu le dernier film de Joel & Ethan Coen (qui se remettent à signer leurs films de leurs deux prénoms, tiens). Le bouquin de McCarthy est si parfait, si passionnant, si ciselé, que même la meilleure des adaptations pourra semble un peu tiède. Sauf que non ...
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Quel film impressionnant! Je ne trouve pas d'autres mots, le niveau d'exigence était pourtant maximum compte tenu des critiques dithyrambiques partout dans les médias. Un film parfait, paysages sublimes, interprétation géniale, mise en scène superbe, ce film a tout. Captivant, terrifiant, émouvant quelquefois, noir c'est noir émaillé d'un brin d'humour par ci par là, on est immergé dans cette région désertique du Texas, l'Ouest dans toute son immensité sauvage et sa pluie de cadavres. On attend le tueur fou, on le craint, on le fuit, on suit les personnages, scotché à l'écran ...
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Alléluiah, la même semaine nous offre les retours de Tim Burton et des frères Coen. Après des escapades vers les douceurs chocolatées ("Big Fish" et "Charlie" pour le premier, "Intolérable Cruauté" et "Ladykillers" pour les seconds"), nous retrouvons l'un et les autres dans leur quintessence. Certes, il y avait bien quelques cadavres balancés du haut d'un pont dans "Ladykillers", mais on était évidemment dans le registre de la farce et de la légèreté ...
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Que dire face à un tel chef d’oeuvre ? Que No country for old men fait partie de ces rares films qu’il faut aller voir sans même en connaitre le sujet ? Que le plus grand sociopathe de l’histoire du cinéma se trimballe avec une bouteille d’oxygène ? Que les dialogues sont aussi improbables que la mise en plis parfaite d’Anton Chigurh ? ...
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Pour ce thriller, les frères Coen n'ont pas lésiné sur les moyens pour nous terrifier : on ne compte pas les litres d'hémoglobines, ni le nombre des cadavres d'hommes et d'animaux, sans parler des blessures et des plaies ouvertes... Le tout allié toujours à l'élégance et la précision de tous les gestes filmés, y compris ceux des actes assassins. Cette course-poursuite haletante est d'une précision millimétrée. C'est vraiment du "haut-cinéma" ...
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Comme le dernier Tim Burton, le dernier film des frères Coen était précédé d’une rumeur extrêmement flatteuse. Eh bien cette fois, je vous annonce que je ne chercherai pas à me distinguer et c’est avec un grand plaisir que je vais vous louer l’excellence de ce No country for old men. Ces sorties simultanées des derniers opus de cinéastes ayant débuté au même moment sont intéressantes pour faire le point sur le devenir d’un cinéma de genre qu’ils ont cherché à réinventer (voir ma note précédente). Comme Burton, les Coen ont beaucoup joué sur des corps singuliers et les ont utilisés pour créer un univers carnavalesque (la galerie de doux dingues qui peuplent leur filmographie) et un style graphique, à la limite de la bande dessinée ...
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Pour les Coen, on était bien plus gênés encore. Leurs films devenaient de vraies caricatures de leur "ton Coen" (comme on disait le ton Barton Fink dans BARTON FINK), sans qu’aucun producteur ne soit réellement venu les menacer d’ailleurs ! Et puis, il y a avait cette sensation, cette impression frustrante que le film démarre quelques minutes avant la fin. Rires. Ca aussi, c’est énervant. Dans THE BARBER, le film devrait démarrer, grosso modo à l’accident, et dans O BROTHER à l’inondation… Bref, mêmes les fidèles acteurs semblaient ressasser (John Goodman, pourtant souvent excellent, dans Ô BROTHER par exemple), et les narrations sombraient dans la prévisibilité la plus complète ! L’ennui ...
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« No country for old man », « Largo », autres lieux et nombreuses similitudes. Point commun au scénario, l’argent évidemment qui pousse les gens à s’entretuer. A cette différence prés, dans largo nous avions affaire à des forbans plus ou moins amateurs. Ici, un pro à tendance psychopathe, tueur froid aux méthodes radicales et originales ( les personnages sont toujours un peu borderline, un poil déjanté, évitant à l’ensemble de sombrer dans le tragique et préservant une place à l’humour, souvent noir forcément) sur la piste de celui qui par hasard a mis la main sur une fortune inattendue , un texan pur et dur ancien marine ...
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Un conseil : choisissez bien votre salle de cinéma pour pouvoir déguster comme il se doit le nouveau film des frères Coen, qui signent avec No country for old men un de leurs meilleurs films. Un grand écran et un bon siège pour s'y couler sont requis afin de savourer pleinement les paysages grandioses du Texas magnifiquement captés par la caméra et suivre les rebondissements d'une intrigue extrêmement prenante ...
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Les frères Ethan et John Cohen «frappent fort» avec ce film d'humour absurde, noir et macabre. No country for old men, c'est un pays où il ne fait pas bon vieillir. Ce pays c'est le Texas, à la frontière mexicaine. Un pays désertique, où le vent de la bande son siffle continuellement. La violence, le fric, la drogue ont pris possession de ces lieux désolés et le shérif vieillissant (Tommy Lee Jones, toujours impec) semble dépassé par les événements. Les événements justement : un échange de drogue en plein désert a mal tourné et laisse sur le sable une douzaine de cadavres et une mallette pleine de millions de dollars ...
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Le western est tout sauf mort. Ces dernières années, des grands films comme Trois enterrements (Tommy Lee Jones) ou L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford (Andrew Dominik) nous l'avait laissé penser. Les frères Coen le confirme avec leur retour en force après un passage par la comédie. Adapté d'un chef-d'oeuvre contemportain du grand écrivain américain Cormac McCarthy, No country for old men s'impose d'emblée comme un futur classique. À la croisée des genres, entre film noir, polar, road movie et western donc, il ressemble aux frères Coen tout en constituant une adaptation sobre, totalement linéaire et fidèle du roman d'origine et qui parvient presque à retranscrire à l'écran son style si particulier. Sur le plan formel, le film est indéniablement parfait ...
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Un grand moment d'acteurs que je vous conseille vivement d'aller voir. Les frères Coen sont de retour avec non moins de 13 cadavres, ceux que Javier Bardem (alias Anton Chigurh) envoie dans un au-delà plutôt sous air comprimé. La scène de démarrage vous met dans l'ambiance et tout le film est un peu à son image, une violence pure,instinctive mais également sans bruit. C'est tout en douceur et en rapidité que Javier Bardem exécute son contrat, il est l'électron libre insaisissable, le fou génial et exceptionnel, la machine qui n'a d'autres but que ses raisons profondes ...
 

Si vous passez du côté de El Paso - Texas, tout près de la frontière avec le Mexique, attention où vous mettez les pieds. Il pourrait vous arriver des bricoles. Graves, très graves du genre " voyage sans retour, regrets éternels". C'est un coin triste à mourir!!!! Un paysage de désolation semi désertique. Avec des clôtures en fil de fer. Des pick-up pourris. Comme dans les bons vieux westerns. Sauf que le coin est devenu particulièrement malsain car il est le terrain de jeux d'un grand très très méchant. Du genre serial killer. Sauf que lui il tue comme vous respirez ...
 

J'ai vu un film. Et en salle, s'il vous plaît ! J'ai réussi à échapper l'espace d'une soirée à mes pots de peinture et d'enduit. Plaisir des retrouvailles. Bel écran, siège confortable juste ce qu'il faut, belle projection, image limpide. Je reviendrais. Et c'est bien que pour l'occasion, ce soit avec No country for the old men, le film des frères Coen. Après avoir raté avec constance les derniers Coppola, Cronneberg, Mouret, Kar-wai, je ne les compte plus, je me remets dans le bain. Hier, j'ai donc commencé une note comme ceci : « D'entrée, c'est le bonheur. ...
 

Apres avoir moisi chez Tim Burton, on va vite prendre le grand air chez les Coen. Fini les gothiques lugubres qui se trucident dans des cadres minuscules : les Coen sortent le scope et s'en vont filmer le Texas. Le désert, au petit matin. Le bruit du vent, la lumière du soleil, et un beau massacre de mexicains. De la drogue, des sous, il n'en fallait pas moins pour Josh Brolin, soudeur a la retraite qui voit d'un bon œil les 1,5 milliards qui reposent au soleil. Bien évidemment, l'argent est rarement dispensées généreusement dans le désert texan ...
 

J’aime beaucoup le travail des frères Coen, et ce depuis les désormais mythiques Fargo et The big Lebowski. Alors je me suis fait un plaisir d’aller voir leur adaptation du roman de Cormac MC Carthy, NO COUNTRY FOR OLD MEN. Ce qui amène les deux frères à tourner au Texas, lieu rêvé de tant de cinéastes et de cinéphiles, entre les grandes étendues désertes et les bisbilles entre américains et latinos mexicains. Le grand Ouest aride est ici la scène d’un western bancal, d’un film hors genre et doté de personnages singuliers et efficaces ...
 

Oubliez Ladykillers ou Intolérable cruauté, les deux derniers Cohen projetés sur grand écran. Sans être mauvais, ces films manquaient clairement d'un petit quelque chose, ce petit truc qui fait dire à beaucoup que les frères Cohen sont des grands du cinéma. Ce petit truc, ils l'ont retrouvé. Le film nous propose une galerie de personnages hauts en couleur (rien que les prénoms j'adore) dont un tueur qui fera date dans l'histoire des tueurs au cinéma. Complètement allumé, limite bête et méchant, il a des méthodes assez expéditives qui font osciller le spectateur entre rire et peur ...
 

Synopsis : Le sheriff Bell ne comprend plus le monde qui l'entoure, un univers de plus en plus violent ou il n'est plus possible de sortir sans arme. Le fait divers qui va frapper sa circonscription va le pousser à bout : Un serial killer froid et sanguinaire part a la poursuite d'un homme qui a trouvé deux millions de Dollars dans les restes d'une confrontation entre des dealers mexicains.
Critique : Generalement prolifique, il aura pourtant fallut attendre plus de trois ans pour voir revenir les Freres Coen avec un nouveau film. D'abord présenté à Cannes d'ou il est revenu bredouille, leur nouveau film No Country For The Old Men arrive enfin sur nos écrans fort de deux Golden Globes, huit nominations aux Oscar et de nombreux prix decernés par la presse. ...
 

Tous les ingrédients d’un excellent film sont ici réunis. Les frères Coen nous offrent là une réalisation magistrale avec un sens du rythme brillant dans cette chasse à l’homme sanglante à couper le souffle. Le scénario tiré de l'oeuvre de Cormac McCarthy n'est pas non plus etranger à la qualité de ce film. Les acteurs, à commencer par le terrifiant Javier Bardem sont tous excellents ...
 

Au milieu du désert, Llewelyn, un texan pure souche, découvre sur les lieux d’un massacre 2 millions de dollars. Autour de lui que des cadavres et un unique survivant : un mexicain blessé et assoiffé. Llewelyn aurait pu en rester là, partir à l’autre bout du monde avec sa gentille femme, sa découverte providentielle dans les poches, mais voilà quelques heures après son retour ni vu ni connu dans sa caravane de fortune, il décide de repartir ...
 

Le dernier né des frères Coen, après un passage par la comédie, est un pur drame mêlant film de genre et verve audacieuse. Entre action, thriller brut, et tragédie violente, les frères Coen manipule deux heures durant, les tripes du spectateur dans une course poursuite basique mais intense, où la violence se déchaîne. Le personnage d’Anton Chigurgh (incarné par un génial Javier Bardem) est autant un psychopathe inatteignable et impitoyable qu’un symbole de point de non-retour d’une société américaine qui tolère le port des armes ...
 

Adapté du roman éponyme de Cormac McCarthy, No Country for Old Men marque le retour des excellents frères Joel et Ethan Coen, absents des salles depuis Ladykillers en 2004 (mise à part l'aventure Paris, je t'aime (extrêmement réussie pour leur part)). Le film raconte l'histoire d'un "deal qui a mal tourné", en suivant parallèlement trois personnages : l'innocent qui s'attire des ennuis en récupérant une mallette de billets (Josh Brolin), le shériff désespéré de la cruauté des hommes (Tommy Lee Jones), mais surtout le grand méchant de l'histoire, le terrifiant tueur psychopathe Anton Chigurh ...
 

A la frontière mexicaine, côté Texas, Llewyn Moss, qui vit chichement dans une caravane, découvre, lors d’une sortie de chasse à la biche, une brochette de dix à douze malheureux cadavres, copieusement ensanglantés, à l’air stupide de ceux qui se sont figés pour l’éternité sans avoir eu le temps de prendre une petite pose. Sur la scène macabre, il recueille, dans une camionnette, les ultimes borborygmes d’un pas tout à fait mort, détrousse les défunts, et, outre de la drogue, tombe sur une valise bourrée de billets de banque ...
 

Quelque part dans une région d’un Texas bien désertique, Llewelyn Moss (Josh Brolin) chasse la gazelle. Il découvre des voitures criblées de balles et éparpillés tout autour des corps bien refroidis. Le chasseur comprend qu’il vient de tomber par hasard sur un deal de drogue qui a mal tourné. Il trouve une mallette bourrée de dollars qu’il s’empresse de dissimuler sous son mobile-home. C’est pense-t-il la chance de sa vie ...

Note : 3.6/5 (19 notes)


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