Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Laterna Magica, Rob Gordon, Sur la route du cinéma, Cahier Critique, Boustoune, Goin' to the movies, Géraldine
Ne te retourne pas, De Marina De Van Avec S. Marceau, M. Bellucci, B. Catillon Cannes 2009 : Sortie le 3 Juin 2009 |
|
. |
Le film fonctionne d’abord sur un fait simple : nos vies modernes sont articulées autour des objets qui nous entoure. Dès lors qu’une chose change de place sans raison apparente, le changement peut-être perceptible physiquement et induire une crainte légitime. Ne te retourne pas fonctionne sur ce principe là et tout le travail de Marina de Van consiste à brouiller les repères sensoriels ...
Lire la suite de la chronique de Laterna Magica.
Après le vénéneux Dans ma peau, on attendait beaucoup du deuxième long de Marina de Van, au pitch étrange et captivant. Alors voilà : c'est l'histoire de Sophie Marceau qui se transforme en Monica Bellucci. Ou quand le cinéma français daigne enfin prendre des risques. Présenté à Cannes en séance spéciale, Ne te retourne pas a reçu un accueil comme seul le festival peut en distribuer - houleux, moqueur, irraisonné - et une volée de bois vert ...
Lire la suite de la chronique de Rob Gordon.
Ce film a frolé la bulle et puis finalement l’indulgence a le dessus car même s’il compte une interminable demi-heure de trop (ce que ça peut être long une demi-heure), l’idée est tellement géniale, les effets spéciaux tellement incroyables et Sophie Marceau tellement merveilleuse ...
Revenu de Cannes sous les huements et les ricanements, Ne te retourne pas peut se targuer des labels « film incompris » ou « film trop différent » mais une fois générique lancé, ceux-ci n’ont plus lieu d’être. Le film ne peut feindre ce qu’on a bien voulu voir en lui ni ce que Marina de Van a originellement recherché, de la thématique cronenbergienne à sa transcription formelle ...
Lire la suite de la chronique du Cahier Critique.
Tel est le point de départ, parfaitement angoissant, de Ne te retourne pas, le nouveau long-métrage de Marina De Van. Comme dans son premier film, le dérangeant Dans ma peau, la cinéaste parvient à créer un climat oppressant, à la lisière du fantastique, à partir de petites choses du quotidien. Le spectateur est tout de suite plongé dans cet univers mouvant et déroutant, intrigué par les phénomènes rencontrés par l’héroïne ...
Lire la suite de la chronique de Boustoune.
Présenté en séance de minuit à Cannes cette année, Ne te retourne pas a fait partie de ces films dont on s'est moqué et qu'on a hué. Sans vouloir me poser en défenseuse systématique des films décriés (on verra bien pour Antichrist, mais il y a de fortes chances que je ne l'aime pas), je n'en comprends pas trop la raison. Certes, les effets spéciaux sont un peu cheap, les dialogues parfois appuyés, l'idée de transformer Marceau en Bellucci ressemble de loin à un coup médiatique ...
Terrific ! Un film avec deux affiches différentes, deux actrices sublimissimes, une dualité dans les personnages comme au fond de chacun d'entre nous : celui ou celle que nous croyons être, que nous sommes, que l'on pense montrer aux autres, que les autres perçoivent de nous... Après deux heures de réflexion, je me lance à dire que j'ai aimé le film, même si ce n'est pas un cri du coeur ...
Lire la suite de la chronique de Géraldine.