Source : The never ending blog
Gallimard Verticales, 281 pagesJe dois être la dernière à lire ce roman, abondamment commenté dans les blogs et la presse. Je n'étais pas tentée : le sujet me stressait. Vivre deux cent et quelques pages dans un hôpital ,assister à la mort d'un jeune homme,en service de réanimation, partager la détresse de ses parents survivants, puis subir sans anesthésie une transplantation cardiaque minutieusement décrite, pas facile pour une malheureuse lectrice qui passe le plus clair ( ou sombre) de son temps à sentir rôder la mort !Je me suis laissée faire, parce que le récit commence magnifiquement, glorieusement, par l'exercice de surf hautement jouissif de Simon Limbres, et qu'on est transporté [..]