Source : EightDayzaWeek
La mélodie au violon qui débloque l'intrigue au mitan du film relève d'un trick musical rigoureusement hitchcockien (écho autant à Une Femme Disparaît qu'à L'Homme qui en Savait Trop, deux films indiscutablement concernés par la présente production !). Il structure une production (confuse et trop longue) qui jette en outre une façon de pont entre (évidemment) La Septième Cible (Pinoteau, 84) et le Frantic de Polanski (88), deux productions paranos devant autant allégeance à la filmo espionnisante du gros Zalfred [..]