Source : EightDayzaWeek
La charmante fantaisie fantastique du binoclard hypocondriaque, tenant plus de la vignette nostalgique à la Radio Days qu’à la parabole doucettement inquiète d’un Zelig, donne à voir, outre un touchant conte de fée cinderellesque pour Crise de 29, un joli compliment à la chose cinématographique oldskool, porté par un patent et réciproque amour (yes, Cinema loves Woody !) mais aussi une tendre ironie, souvent amusante et toujours mélancolique [..]