Source : Dasola
Pour la projection de Gemma Bovery en avant-première, on était une vingtaine dans la salle de 200 places. Pour Mademoiselle Julie, on était sept pour une contenance aussi de 200 places. Le point commun entre ces deux films, à part le fait qu'ils sont adaptés plus ou moins librement d'oeuvres littéraire et théâtrale très connues où les héroïnes ont des destins tragiques, et qu'ils sont réalisés par des femmes, est que je les ai vus dans le même complexe cinématographique au nord de Paris [..]