Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
Blog Culturel, Critiques clunysiennes, Sur l'octuple sentier, Rob Gordon, BMR & MAM, Dasola
Che - 1ère partie : L'Argentin, De Steven Soderbergh Avec B. Del Toro, D. Bichir, S. Cabrera Sortie en salle le 7 Janvier 2009 |
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On rentre progressivement dans cette version du Che par Soderbergh. Un épisode qui revient que les débuts, l'avant, la période de la guerre, de l'avant révolution, de la prise du pouvoir contre Batista à Cuba (ce dernier s'est emparé de Cuba en 1952). On connaît le Che par ses livres, les documentaires, les films qu'il y a eu sur lui, Soderbergh revient sur une période que je ne connaissais pas vraiment avec un rendu vieillissant c'est-à-dire que l'on se trouve entre documentaire et fiction ...
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Steven Soderbergh a le grand privilège (même s'il ne le sait pas) d'être le premier réalisateur à avoir eu quatre fois les honneurs des Critiques Clunysiennes, et il y a de fortes chances qu'il porte le record à cinq d'ici trois semaines. C'est dire que c'est un cinéaste prolixe, et le rappel des quatre titres ("Bubble", "Ocean Thirteen", "The good German" et "Che") suffit à illustrer son éclectisme. Devant la première partie de son diptyque consacré au Che, la critique est assez partagée, notamment celle de gauche ...
Après l’excellent "Carnets de Voyage" de Walter Salles (2004), deuxième étape dans la vie de l'icône révolutionnaire qu'est Ernesto 'Che' Guevara. A la lecture de nombreuses critiques vues ici ou là, je commençais à craindre que le premier volet de ce diptyque ne soit raté, et que l’industrie cinématographique américaine n’ait une fois de plus massacré le récit de la vie d’un des personnages les plus mythiques du 20ième siècle ...
On ne sait plus trop s'il faut dire de Steven Soderbergh qu'il aime multiplier les expériences fondamentalement différentes ou si c'est juste un type incohérent et opportuniste. Sa filmo part dans tellement de directions qu'au fil des années il est devenu parfaitement impossible d'évoquer son style ou ses thèmes de prédilection. Il convient donc de parler de ses films comme des oeuvres uniques, sans chercher à les relier à sa filmographie. Par conséquent, il semble suffisant d'affirmer que cette première partie du diptyque Che est juste un très bon film, intense et pénétrant, atypique et frappé du sceau de l'intelligence ...
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D'abord un petit coup de grogne contre le nouveau mode de distribution de certains films qui consiste à vous faire payer deux places au lieu d'une. Après Mesrine épisode 1 et 2, voici le Che épisodes 1 et 2. Les réalisateurs ne savent-ils plus faire tenir leurs propos en moins de deux heures ? où cherchent-ils plutôt à rentabiliser au maximum la production ? Ceci étant dit, si on a pu véiter Mesrine, comment éviter le Che de Soderbergh ? Un sujet passionnant de l'histoire comtemporaine, un épisode qui aura marqué toute la génération dont on fait partie et bien sûr l'avenir politique de l'Amérique. Alors en route pour une leçon d'histoire (obligatoire pour les ados !) ...
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Le Che de Steven Soderbergh est un film en deux parties, et après les avoir vues, je comprend pourquoi. Il y a d'abord la longueur, et puis les deux parties sont vraiments différentes tant par le fond que par la forme. La première partie (sortie le 7 janvier 2009) peut se résumer à Cuba et sa révolution pour renverser Battista, entrecoupée par le discours du Che à l'ONU en 1964 ...
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