Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
CinemaniaC, Cinéfeed, Une toile pour deux, Rob Gordon
Ca$h, D'Eric Besnard Avec J. Dujardin, J. Reno, V. Golino Sortie le 23 Avril 2008 |
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Entre "Les Tontons flingueurs" et un "Ocean 11" à la française, voilà un film plus ambitieux qu'il n'y paraît, mettant en vedette un héros escroc de haut vol dans la lignée du Belmondo seconde manière qui engrangeait les entrées dans les années 80 avec des films comme "Le Guignolo", "l’Incorrigible", "Flic ou voyou", etc… L’escroc nonchalant et séducteur, le tombeur des porte-feuilles et des dames ("ce soir 20h, l'Esquinade, passez quand même une robe!" réplique de Belmondo dans "Flic ou voyou", je crois!!!), qu’on admire de transgresser les règles avec une absence bluffante de scrupules. Quoiqu'en ce moment, ça tombe mal, le marché de l'esbrouffe et de l'escroquerie est saturé
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Dans un grand moment d'égarement j'ai été voir Ca$h de Eric Besnard. J'avoue, j'ai fait confiance aux 3 étoiles d'Allociné. Je sais pourtant que le distributeur publie de fausses critiques pour augmenter artificiellement le nombre d'étoiles de son film. Je savais mais j'ai fait confiance. Pauvre de moi. L'histoire en deux mots est celle d'une arnaque que met en place Ca$h (Jean Dujardin qui fait ce qu'il peut) pour venger son frère mort à la suite (justement) d'une arnaque
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Quand des arnaqueurs arnaquent d'autres arnaqueurs, qui se fait arnaquer ? Toute la question est là, et tout l'intérêt du film aussi je pense. On comprend assez rapidement que l'histoire ne va pas être aussi simple que les apparences veulent laisser croire. Rien d'insurmontable tout de même, tout est très bien expliqué quand il le faut, et voire même compris avant d'être expliqué. L'important casting est bien géré, on prend plaisir à suivre tous ces escrocs qui ne pensent qu'à leur pomme, même si j'ai trouvé Dujardin un peu moins bon qu'à l'habitude. Si l'histoire générale semble tenir la route, il y a quelques détails qui clochent ...
À l'époque où il était encore lisible, le magazine Première nous régalait notamment avec une excellente rubrique, Anthologie du film con, dans laquelle Jean-Jacques Bernard rendait hommage à sa manière à quelques-une des oeuvres les plus stupides du cinéma mondial. À coup sûr, Ca$h aurait donné du grain à moudre à cet excellent journaliste. Car non content d'être dépourvu de neurones, le machin d'Éric Besnard voudrait passer pour un film roublard, malicieux et extrêmement pointu. Il n'y a pas plus horripilant que les cons qui ne savent pas qu'ils en sont. La formule s'applique également au film ...
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