Source : EightDayzaWeek
Les adjectifs fun ou généreux ont le don de me décourager. Le concept du nanar, communément admis et transmis, m'inspire une même défiance. Ces fausses bienveillances pour appréhender un cinéma de moindre rayonnement sont, à mes yeux fatigués, autant d'hypocrisies, d'hâtifs verdicts et de paresseuses confraternisations, que le détail scrupuleux d'un générique, par exemple, proposé comme seul angle critique, rapproche de la dissection dont le biologiste ferait montre pour détailler les composantes d'un étron [..]