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15
04
2009

Little Miss Sunshine - Valérie Faris et Jonathan Dayton

12 chroniques recensées

Liste des chroniqueurs sur ce sujet :
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Little Miss Sunshine,

De et

Avec G. Kinnear, T. Collette, S. Carell

Sortie en salle le 6 septembre 2006
Sortie en DVD le 21 mars 2007
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LITTLE MISS SUNSHINE de Jonathan Dayton et Valerie Faris vaut le détour de rien, en quelque sorte. Petite volonté toujours un peu ignoble d'être aimé là aussi; mais ici c'est le faisant qui gagne, noble animal. Alors que Greg Kinear, tout à fait capable, semble encore payer le tribut à l'Hemingwayisme qui frappe les USA en tout temps et en tout lieux (à savoir le destin glorieux d'un américain est toujours la preuve qu'il a raté, car il n'y a pas de second acte dans la vie d'un américain, mais en même temps, on aimerait bien..., etc, etc... Vous voyez le genre?), les autres se vautrent dans le sous-scénario. Pas de mise en scène, rassurons-nous. Pas de lumières et quasiment pas de montage. Scénario très prévisible, etc... Bref. Pourtant le film est tout à fait formidable sans atteindre le beau niveau de IN HER SHOES, bien sûr. Pourquoi? ...

 

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Une obsession américaine traverse tout le film : celle de la réussite, soutenue par une conception qui réduit le monde à une opposition entre gagnants et perdants. D'emblée, Frank a sinon choisi, au moins adopté le clan des loosers, accumulant déception sentimentale, échec professionnel et blessure d'égo ; il peut compter dans son camp sur son neveu Dwayne, qui dans son mutisme volontaire clame sur son petit carnet sa haine de la famille, de l'école et de la société... même s'il a l'ambition de devenir pilote dans l'US Air Force ...

 

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Synopsis : Olive rêve de devenir Little Miss Sunshine, lorsqu'elle reçoit une invitation à concourir c'est toute la famille qui embarque dans le minibus pour silloner les routes jusqu'en Californie. Mais le périple est parsemé d'embuches pour accéder au concours.
Critique : Couronné dans de nombreux prestigieux festival à travers le Monde dont celui de Sundance et tout fraichement gagnant du Grand Prix du Festival de Deauville arrive sur nos écrans Little Miss Sunshine, le premier film du duo Jonathan Dayton & Valerie Faris. Le couple de réalisateurs s'étaient fait connaitré jusque là par leurs clips pour Red Hot Chili Peppers; REM ou The Smashing Pumpkins.

 

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Le cinéma américain, dans sa large étendue artistique, se porte mal. C’est un fait dont personne ne niera le contraire. Il existe encore ici et là quelques francs tireurs qui essaient tant bien que mal d’apprivoiser les requins financiers des grands studios US et pour la plupart réussissent à pratiquer un cinéma qui leur est propre : libre, inventif et totalement représentatif d’une société dans laquelle ils vivent. Lynch, Scorsese, PT Anderson, Tarantino, Demme, Anderson ...

 

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Bon voilà un petit film tout en couleur qui vous permet de suivre les pérégrinations de la famille Hoover composé d'Olive pour laquelle on va en Californie, d'Albuquerque en minibus volswagen complètement déglingé et totalement sauvage ..., pour qu'elle participe au concours des Miss beauté américaine version enfant ... enfin presque ...

 

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Ce film est une bouffée d’air frais. On prend plaisir à voyager avec cette famille dont chacun des membres porte sa part de problèmes et de névroses. Au fur et à mesure du chemin, le voyage se transforme. La tension du début devient douceur. La galerie de personnages – haut en couleurs - sonne souvent très juste, et les façades se lézardent petit à petit. Le père, sorte d’apôtre de la « positive attitude » apprend à devenir un looser ...

 

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Et bien je dois dire que pour mon premier cinéma depuis deux semaines, j’ai bien fait de me fier aux critiques de mes camarades bloggeurs. Ce film est excellent, vraiment. J’ai tout aimé dans ce film aux mille clichés, car tout le monde ramasse, et ça c’est énorme. Prenez d’abord la famille, caléidoscope tourmenté d’une famille incroyable, papi qui pense qu’a baiser, tirer sa ligne, s’habille encore comme un rockeur ; le père, relou qui cherche à vendre sa formule “to be a winner” ...

 

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Little comme grand, Miss car adorable, Sunshine tel un bonheur de rayon de soleil dans ma journée, tel fut remarquable road-movie! Tendre, émouvant, et tellement réellement juste. Ce film joue avec talent de nos travers quotidiens, que l'on soit americain ou de toute autre contrée occidentale. Cette famille à la base pourrait etre la votre, la notre . Ici elle est prétexte en tout cas à assembler un lot de clichés, des instantanés pris sur le vif puis savamment exploités par un scénario diablement habile et drole, et profondément humain ...

 

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Devant les vives recommandations de Frankie et de Kilucru, je suis allée voir Little Miss Sunshine. On est présenté à la famille dès le début du film et les personnages nous apparaissent très vite humains et attachants, avec leur tempérament et leurs failles.J'ai trouvé le jeu des acteurs, surtout le rôle de l'ado et celui du frère, tous deux en spectateurs désabusés des fêlures familiales, très justes ...

 

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Quelle agréable surprise que ce petit bijoux (indépendant) américain! Une heure 40 de pur bonheur. L'histoire est simple : une famille manquant cruellement d'équilibre mène une petite vie comme elle peut, dans une petite ville des Etats-Unis. Le père est obsédé par la réussite sociale, le fils s'est muré dans un silence Nieztschien, la fille (7 ans) rêve de devenir Miss beauté, le grand-père, fan de magazines coquins, s'est fait viré de la maison de retraite parce qu'il sniffait de l'héroïne ...

 

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Une famille américaine moyenne: Grand père rock'n roll héroïnomane, mère stressée, père looserophobe auteur d'une méthode "comment devenir un winner en 9 étapes" qui n'arrive pas à se faire publier, Fils ainé adolescent aux cheveux gras et 2 de tension ayant fait vœu de silence jusqu'à réussite de l'école de l'armée de l'air et adepte de Nietzsche, un oncle suicidaire et homosexuel blasé. Et olive, la cadette, qui a été selectionnée pour passer un concours de beauté "Little miss sunshine" en Californie ...

 

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Toutes les personnes de ma génération ont connu les petits livrets de Roger Hargreaves, les Monsieur Madame (Mr Men and Little Miss) : Monsieur Musclé, Madame Autoritaire… l’un des personnages les plus sympathiques est Little Miss Sunshine (Madame Bonheur), avec sa bouille jaune et ses nattes. Little Miss Sunshine, c’est aussi un concours du genre reine de beauté pour les petites filles auquel souhaiterait participer Olive Hoover (Abigail Breslin), une fillette de 7 ans avec une bonne bouille et habillée en jaune également ...

 

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Note : 3.7/5 (15 notes)


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Commentaires

Un petit film bien sympa, un vrai plaisir

La petite Sunshine nous emmène sur les routes US vers la Californie avec sa famille de doux-dingues (un oncle homo & suicidaire, un grand-père shooté à la coke, une mère divorcée, un frère autiste volontaire, un père looser éternel, ...).
Mais Jonathan Dayton et Valerie Faris (les réalisateurs) ont décidé que les perdants (du moins ceux qui roulent en minibus jaune) seront les gagnants et tout est bien qui finit (presque) bien.
Un petit film bien sympa et un plaisir à ne pas bouder : la salle éclate de rire du début jusqu'à un final vraiment pas possible.

BMR & MAM - 27.04.07 à 23:15 - # -

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